Les plantes sauvages


Si l’activité de cueillette peux évoquer des temps reculés dans l’histoire, quoi de plus contemporain que d’aspirer à ce contact simple avec les éléments, la terre, le végétal, le vent le soleil ? C’est d’abord ce qui nous anime dans ce choix délibéré d’arpenter la montagne, faucille à la main.

Une douzaine de nos huiles essentielles et eaux florales (ou hydrolats) sont issues de cette cueillette sauvage.


Les sites naturels de cueillettes sont cependant fragiles et nous faisons en sorte de prendre soin de ce précieux patrimoine par une cueillette douce et raisonnée qui permet aux plantes de se régénérer dans les meilleures conditions possible. Pour pallier au problèmes de régénérescence des plantes sauvages, nous mettons en cultures les plantes fragiles telles que le thym. La cueillette peut se faire à la faucille (lavande, thym, carottes sauvages) ou au sécateur (genévrier, pin, laurier).


Les plantes recueillies dans des draps (bourras en provençal) sont ensuite transportées à dos d’homme sur des distances quelquefois très éloignées d’une piste carrossable.

Les plantes sont récoltées dans des zones les plus éloignées possible de routes et agglomérations. Arrivées à la ferme, elles seront aussitôt étalées avec soin en attente d’être distillées.